La réforme du ferroviaire oblige logiquement à des modifications du Statut, ne serait-ce que pour mettre les noms des EPIC en lieu et place de « SNCF » et indiquer les découpages qui en découlent : commissions de notation, conseils de discipline…
Mais les dirigeants en profitent pour tenter des modifications qui n’ont rien à voir avec ce « toilettage » obligatoire et qui révèlent une « obsession » récurrente d’allégement de leurs obligations. La CGT et son UFCM les ont toutefois forcés à reculer sur plusieurs points. Voici un premier état des lieux avant la reprise des négociations en septembre.